Maëlle(fantasy) en attente d'un titre

Voilà je me permets de vous mettre la première page de mon roman.
dite moi franchement ce que vous en pensée. je mettrai petite à petite les pages écrites.
un grand merci à ceux qui vont prendre le temps de lire. je vous souhaite une bonne lecture:)

1 Chapitre

Maëlle se réveilla en plein milieu de la nuit, transpirant, essayant de reprendre son souffle court.
-Pourquoi suis-je aussi nerveuse? Se demanda-t-elle. Fermant les yeux elle se mit à chercher se qu’il pouvait la mettre dans cet état.
Le lycée ne pouvait pas l‘inquiété, Maëlle était la meilleure élève de son lycée, elle s’en vantait souvent, elle n’avait pas avoir besoin d’étudier, c’était une chance pour elle, pouvoir sortir avec ses amis sans que ça ne se ressente dans ses résultats.
Les garçons? Non, elle n’avait aucun problème! Elle était la fille la plus populaire du Lycée. Blonde avec des jolies boucles, elle avait les yeux verts qui devenaient presque jaunes au soleil. Son corps s‘était formé bien avant les filles de son âge. Se qui n’était pas un avantage étant petite, devint une force, plus grande. Son sourire était l’un de ses meilleurs atouts, elle aimait voir ses pommettes se creusés lorsqu‘elle souriait. Elle avait la peau un peu blanche, un peu jalouse des filles qui bronzaient facilement quand elle n’y arrivait pas. Ce ne pouvait être que son pressentiment.
Depuis quelques jours, elle avait le sentiment qu’on la suivait. Elle se trouvait des milliers d’excuses pour ne pas se prétendre folle. Elle n’osait en parler à personne. Elle se sentait tellement seule.
- Si maman serait là, je saurais à qui me confier. Son cœur se serra.
Sa mère était partie, sans explication. Papa, lui avait dit qu’elle était partie pour son bien. Elle savait qu’il voulait seulement la protéger. Il a toujours été protecteur avec les personnes qu’il aime.
Maëlle était trop déprimé pour se rendormir tantôt, Elle aurait aimé trouver un indice pour retrouvé ça mère. Elle ne savait pas par où commencer. Elle ne savait pas tout simplement si sa mère voudrait la revoir. Cette idée lui fit monter quelques larmes, qu’elle étouffa sans se rendre compte. Avec les années, elle s’était construite un épais mur, pour apaiser la douleur de l’abondons de sa mère. Chaque fois qu’elle pensait à elle, le mur se fortifiait un peu plus.
Maëlle se concentra sur la faible lumière qu’il y avait dans la chambre. Elle s’apaisa petit à petit en pensant à des souvenirs heureux avec ses amis, son père. Elle avait prit l’habitude de s’endormir comme ça, après que sa mère était sorti de leur vie. C’étais son père qu’il lui avait appris car elle avait prit l’habitude de s’endormir sur la chanson. Celle que sa mère lui chantait depuis sa naissance.
Elle réussi à s’endormir après avoir passé une plus grande partie des souvenirs de sa petite enfance.

Maëlle avançait dans une rue étroite, elle l’a reconnue immédiatement, elle était à côté de la boîte ou elle et ses amis allaient toujours, elle entendait pleurer au loin, elle avança où les pleures l’emmenaient, elle vit une dame en boule, avançant d’un pas timide, elle se plaça devant.
-Vous allez bien, vous voulez que j’appelle quelqu’un?
La fille leva la tête, Maëlle fut choquée, elle la connaissait très bien c’était elle. Par peur je reculai, elle me regardait le visage pleins de larmes, je reculais encore sans la lâcher des yeux, un son sorti de sa bouche, j’entendais MA voix sortir de sa bouche!
-Il te faut te préparer, ils arriveront bientôt pour venir te chercher, ils te veulent.

-Maëlle réveilles-toi, tu vas être en retard au lycée. Je me réveillai en sursaut et vit mon père appuyé contre ma porte.
-Ça va?
Mon père était toujours inquiet pour moi, je devrais être rassuré, mais je détestais ça, j’avais l’impression qu’il me prenait encore pour une gamine de deux ans.
- Oui papa ne t’inquiète pas, j’ai juste fait un cauchemar. Je voulais juste te dire que ce soir je sortirais avec Léana, Joana et Emma je ne rentrerais pas tard, d’accord?
Papa m’étudia, il croyait qu‘il pouvait lire en moi et savoir si je mentais ou pas. Il n’était pas doué surtout avec moi. Il s’est toujours trompé sur les personnes, c’était pour cela qu’il préférait rester seul, personne ne lui ferait encore une fois aussi mal qu’il avait eu il y a quatre ans. Sonia l’avait quitté pour son garagiste avec toutes ses économies. La police ne les a pas retrouvés. Il avait été malade pendant des semaines. Il était détruit. Jamais je ne voudrai le revivre.
D’accord mais tu me promets d’être prudente!
Comme toujours ! Je levai les yeux et lui demanda de sortir pour qu’elle se prépare pour le lycée.
15 minutes plus tard elle descendit le sac à l’épaule.