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 votre avis sur mon debut de roman ... LAYOLA

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AuteurMessage
lpdor




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Date d'inscription : 14/01/2012

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MessageSujet: votre avis sur mon debut de roman ... LAYOLA   votre avis sur mon debut de roman ... LAYOLA EmptySam 14 Jan - 22:45

boujours à tous ! Voilà,j'aimerais avoir votre avis sur ce debut de roman intitulé Layola !
je m'excuse à l'avance pour les fautes d'orthographe !!! Je ne suis pas très douée pour ça !!!




PROLOGUE
Il y a très longtemps, au commencement du monde, une planète pris place au centre de l'univers. Durant de nombreuses années, des scientifiques l'ont étudiée mais personne n'a jamais sut dire comment elle était arrivé là, ni pourquoi aucun satellite ne parvenaient à en revenir en un seul morceau. On ignorait même le fait que la vie puisse exister dans un tel endroit. Tout ce que nous en avions obtenue était des prélèvement atmosphériques qui montraient une force surpuissante inexpliquée.
Depuis des années déjà que la population terrienne connait son existence, les histoire n'ont cessées d'évoluer avec le temps et se sont transmissent de génération en génération.
Mais il y a quelques temps, les soirs de pleine lune, on entend des cris déchirants traverser le ciel. Des hurlements a vous glacer les sangs.
Dès lors, on a commencé a inventer de nouveaux récits. Les enfants racontent que des zombis de l'espace vont venir chaque nuit où la lune sera pleine, pour arracher les yeux à ceux qui n'auront pas étaient sages durant le mois. Les scientifiques eux, pensent tout bonnement qu'il y a une explication rationnelle à cela.
Cependant, certaines personnes se posent bien d'autres questions les soir de pleine lune, car elles savent exactement ce que ces cris signifient, et que le moment venu, il faudra partir, sans laisser de traces de son passage...




CHAPITRE 1
ABANDON

Deux semaine s'étaient maintenant écoulées depuis que mon père et moi avions déménagés à Denver .C'était à contrecœur bien sûr que j'avais dus faire mes cartons, emballer toute ma vie dans de vulgaires boîtes, et dire adieu à mes amis de Sidney. Mais ce qui me rendais plus triste encore, c'était la façon dont je m'était retrouvée dans cette ville où je ne connaissais rien ni personne. Tout cela à cause d'une malheureuse lettre pliée en deux que j'avais découvert un matin sur la table de la cuisine. Je n'y avait pas prêtée attention au début. Comme à mon habitude, je m'étais dirigée à moitié endormie vers le placard où l'on rangeait la vaisselle. Après avoir pris un bol, j'avais versais machinalement mon lait et rajoutée le chocolat en poudre. C'était mon nom écrit à l'encre noir sur le papier blanc qui m'avait attirée. Dès les premières lignes, j'avais compris que quelque chose n'allait pas. Les mots avaient étaient écrits d'une mains tremblante. On voyait que des larmes étaient tombée sur le papier aux endroits où l'encre avait coulée.
" Ma petite Ella, tu ne me le pardonnera sûrement jamais mais je m'en vais. J'ai fais certains choix il y a longtemps et je les regrettent. Ton arrivé dans notre famille a été la plus belle chose qu'il me soit arrivée de toute ma vie. Mais pour ton bien et pour le bien de ton père, je dois m'en aller. Tu ne peux comprendre ce que tu ignore mais c'est mieux ainsi Ella.
n'essaie pas de me retrouver, oublie moi. Cela peut te paraitre impossible mais tu verra que le temps effacera ton chagrin. Adieu ma chérie.
Ta maman qui t'aime."

Après cette douloureuse lecture, les sentiment que j'éprouvais pour ma mère s'emmêlaient dans ma tête. J'étais en colère, la haine avait envahit tout mon corps. Je fis voler tout ce qui ce trouvait sur la table à ce moment-là. Mon bol se fracassa contre le carrelage et le lait chocolaté se rependit sur le sol. Le vase se fendit sur toute sa longueur alors que les roses gisaient pitoyablement parterre. Tout y passa. Je regardait le carnage que j'avais causé. La lettre, que je tenais toujours dans ma main sembla soudain peser des tonnes. Je la laissait m'entrainer vers le sol, glissant le long d'un des pieds de la table. Une douleur immense déchira ma poitrine. Je voulut crier mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je commençais a suffoquer, je manquais d'air dans cette maison qui, tout à coup, me paraissait vide sans ma mère. Les larmes inondées mes joues mais elle ne parvenaient pas à éteindre le feu qui me brûlait de l'intérieur. Mon regard se perdait dans le vide. Je pleurais encore et encore. Il me sembler impossible d'être à nouveau heureuse après cela. Le monde resterait noir, triste et sombre pour toujours. Tout comme mon cœur.
Tout ce bruit avait réveillait mon père. Je l'entendais descendre les escaliers. Quand il rentra dans la cuisine, il avait l'air très fatiguait. Se doutait-il de se qu'il se passait? De la tragédie qui venait de s'abattre sur notre paisible petite vie? Après avoir découvert le massacre qui régnait dans la pièce, son regard s'était posé sur moi. Il me tendit alors une main que je ne saisie pas, je restais figée clouée au sol par le chagrin. Mon père me saisie par la taille et me redressa; mais je ne tenais plus sur mes pieds. Il ne cessait de me demander ce qui n'allait pas, tout d'abord d'une voix rassurant mais comme je ne réagissais pas, il perdit patience et s'emporta . La douleur dans ma poitrine m'empêchait de parler. Je le laissait me déposer sur le canapé rouge du salon. Le cuir crissa sous mon poids. Il resta là à me regarder, sans bouger. Puis son regard se posa sur le papier, roulé en boule dans mon poing. Je ne m'était même pas rendu conte que je l'avait serré si fort. Il me l'avait prit doucement et l'avait lut. De mon côté, je ne contrôlais plus mes sanglots, mon pouls accélérait, je commençais a paniquer. Le visage de mon père se décomposa au fur et à mesure que ses yeux balayaient la page. Ayant finit sa lecture, je m'attendais à ce que ses traits expriment de la tristesse, de la peur, peut-être même de la colère. Mais non. Il resta particulièrement calme devant la gravité de la situation. Je le suivais du regard tandis qu'il se dirigé vers la cheminée. Il se pencha et jeta le papier dans le feu, sans aucune raison puis remonta tranquillement se recoucher. De mon côté, j'avais cessée de pleurer. La scène dont je venais d'être témoin m'avais stoppait net. De quel droit mon père se permettait-il de bruler cette lettre? C'était la mienne, elle m'était destinée! Je descendis du canapé et m'avança jusqu'au foyer. Je suis restée là un moment; à regarder les flammes noircir la page. C'était la dernière chose que ma mère m'avait laissée avant de partir. Le feu était d'un rouge éclatant et les flammes du brasier, de plus en plus grandes, semblaient vouloir me repousser. Quand la feuille ne fut plus qu'un petit tas de cendre, je me releva et remonta dans ma chambre, les joues baignaient de larmes que je ne retenaient plus.
Plusieurs jours avaient passés avant que je reparle à mon père. L'absence de ma mère était encore plus dur à surmonter chaque jour qui s'écoulait. Je n'allais plus en cours, je ne mangeais plus je ne dormais plus. A vrai dire je passais mes nuits à pleurer. J'ignorait si mon père m'entendait puisqu'il n'était jamais venu me voir pour me calmer. Je descendais l'escalier, une boule au ventre en me rappelant que ma mère ne se trouverait pas dans la cuisine, souriante et heureuse comme j'aimais la voir. A la place, je tombais sur mon père qui était entrain de faire des pancakes. Il était coiffé et habillé en tenue du dimanche.
"- Bonjour Ella! Tu as faim j'espère ? me dit-il.
-Bonjour papa. Je me demandais si tu m'adresserai a nouveau la parole un jour.
-Ma chérie je crois qu'il faut qu'on parle de certaines choses.
-Je t'écoute, lui dis-je "
Je tirais une chaise et pris place pendant qu'il posais deux assiettes et une pile de pancakes sur la table avant de s'assoir aussi.
"-Tu sais Ella, ta mère nous aimait beaucoup tout les deux, elle t'aimais beaucoup, mais dans sa vie elle à fait des choses qu'elle n'aurait jamais du faire. Elle n'en était vraiment pas fière et elle a vraiment essayé d'arranger les choses, en vain. Je savais qu'elle devrait partir un jour mais je ne pensais pas que se serai si tôt, me dit-il d'un ton grave.
- Tu savais qu'elle allait nous abandonner et tu n'a rien fait pour l'en empêcher ?!
- Tu ne sais rien de qui c'est passé tu ne peux pas comprendre.
- Tu n'a qu'à me l'expliquer et je jugerai pas moi même la situation qui, au passage, n'a pas l'air de préoccuper plus que ça. Vous avez pensez à moi quand vous avez conçut vos plans. Vous n'avez pas pensez une seule seconde à ce que je pourrait ressentir ?
- C'était justement pour toi que ta mère est partie, pour te protéger ! s'emporta-t-il.
- Ne dit pas que c'est de ma faute . Je ni suis pour rien, je n'ai jamais voulut que maman parte ! "
Sur ces paroles que mon père faisait exprès de ne pas avoir entendu, je tirais ma chaise bruyamment, monta les escaliers en tapant des pieds et finit par gagner ma chambre en claquant la porte de toutes mes forces derrière moi .

Les jours se suivaient sans avoir de sens. Mon père ne me parlait plus, il ne mangeait jamais avec moi. En faite je n'existai plus pour lui. Du moins c'était l'impression que j'avais. Ce qu'il c'était passé, personne ne le changerait. Ma mère était partit, mon père ne me parlait plus et je me retrouvée plus seule que jamais. Toute ma vie c'était écroulée en une fraction de seconde. Je n'avais pas eu le temps de réaliser ce qui m'arrivais que tout avais soudain disparut.
J'étais là, assise sur mon lit à ressasser mes pensés. Je devais absolument raconter à mes amies ce que je venais de vivre. Elles me comprendraient , m'aideraient à oublier ma tristesse, cette peine qui me rongeait le cœur.
D'un bond, je saisie mon sac et mes livres de cours. J'attrapais une veste dans la penderie et dévalais les escaliers comme une flèche. J'ouvris la porte et m'élançais dans la rue pour ne pas rater mon bus. Une voix me coupa dans mon élan :
"Où vas tu Ella ? demanda mon père.
-Au collège papa, là-bas, je ne dérange personne au moins.
-Arrête de raconter des bêtises et de me faire passer pour un monstre.
-Je suis désolé papa mais je doit y aller; je vais rater mon bus, lui dis-je
-Et bien je t'emmène. Attends moi là, je vais chercher la voiture."
Je tentais de protester mais il était déjà partit. Lorsque la voiture s'arrêta à mon niveau, j'ouvris la portière et m'enfonça le plus possible dans le siège passager. Nous fîmes demi-tour et mon père s'engagea sur la route principale. Je me sentais prise au piège, il y avait au moins vingt-cinq minute qui nous séparaient de mon établissement scolaire et je devais les passer en compagnie de mon père. Je n'avais rien à lui dire, ma colère ne s'était pas dissipée. Il commençât à me parler de la journée à la plage qu'il projeté de faire le weekend prochain mais je ne l'écoutais déjà plus. Mon esprit divaguait sur différents points, je pensais à ma mère, qu'était- elle en train de faire en ce moment ? Pensait-elle au moins à moi ? A ce qu'avait était notre famille avant qu'elle ne la détruise ? Toutes ces question qui restaient sans réponses me donnait mal à la tête. Je réfléchis alors à ce que je pourrais bien raconter à mes amies. Je ne pouvais tout de même pas leurs balancer " Eh, salut les filles, au faite ma mère vient de m'abandonner, on pourrait faire un truc ensemble vendredi !" Non vraiment je devais trouver quelque chose de plus intelligent à leurs dire.
Mon père, s'étant aperçut que je ne prêtais aucune attention à ses propos, avait finit par se lassait de son monologue. Il conduisait tranquillement en fredonnant les paroles de la chanson qui passaient à la radio à ce moment là, bien qu'il ne les connaissaient pas vraiment.
Je commençais à me lasser du trajet et regrettais de ne pas avoir pu prendre le bus. La vue du parking du collège me redonna du courage. Mon père tourna un moment avant de dénicher une place près de l'entrée. Je pus enfin sortir de la voiture qui commençais a devenir un enfer. Tout ce que je désirais à ce moment là, c'était m'enfuir, partir d'ici et ne jamais revenir. Si tout cela était possible, la vie ne serait pas aussi compliquée. Malheureusement pour moi, tournais le dos à mes problèmes n'arrangerait rien. Je devais les affronter pour me libérer de tout le mal que les personnes qui m'étais chères m'avaient infligées.
"-Bonne journée Ella, j'espère que nous pourrons parler ce soir. Je veux dire...sérieusement, me dis mon père."
Je ne savais pas quoi lui répondre. En faite si. J'aurais voulu lui dire que je le détestais d'avoir laissé partir maman, que je voudrai le voir mort à cet instant et que j'aurais préféré que se soit lui qui parte. J'aurais voulus, oui, mais ce que je voulait n'avait pas d'importance de toutes façons, mon avis n'avait d'importance pour personne d'après ce que j'avais crut comprendre.
"-Moi aussi papa, lui répondis-je"
Je refermai la portière et il fit une marche arrière avant de disparaitre dans le flot de véhicules qui occupaient la route.
"-Oh papa, si tu savais comme moi aussi je voudrais qu'on parle".
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