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 Eragon

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Dragon noir
Illuminé
Dragon noir


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MessageSujet: Eragon   Eragon EmptyDim 29 Avr - 12:28

Lors d'un petit concours d'écriture sur un site de JdR, on m'a demandé un texte dans l'univers d'Eragon, le voici:



Eragon chevauchait Saphira au dessus des troupes vardens. Le groupe avançait vers Urû’Baen, la capitale de l’empire. Les humains et les nains marchaient ou chevauchaient en petits groupes, pour éviter d’attirer l’attention de trop loin.
Au loin se dressaient les remparts de la ville et, plus au nord, l’armée elfe. Le plan était simple : le dragonnier devait ouvrir le passage aux vardens et les magiciens elfe au leur. Pendant que les trois armées combattraient, Eragon et un petit groupe d’elfe partiraient prendre le palais.
Les portes tombèrent sans problème, et les troupes entrèrent. Arya et trois autres elfes vinrent rejoindrent le dragonnier devant le palais, leurs épées étaient rouges de sang. Saphira carbonisa la porte et les gardes voisins, puis s’envola pour éloigner Shruikan, le dragon noir du roi, de son dragonnier et de ses amis.
Le palais paraissait vide, seul quelques gardes leur barrèrent la route. Au second étage, un comité les attendait. Trois gardes d’élites, Murtagh et Galbatorix en personne les attendaient. Les deux dragonniers tuèrent un elfe chacun.
Comme d’un accord commun, Murtagh et Arya s’avancèrent, prêt à combattre, pendant que l’autre elfe et les trois gardes combattaient de leur coté. Eragon tira son épée elfique et regarda le roi en face.
Les deux protagonistes se tournèrent autour. Quand Eragon passa près de l’elfe et de ses deux adversaires, le troisième baignant dans son sang depuis le premier assaut, il en frappa un à la tête, l’homme s’écroula sans problème.
Galbatorix attaqua alors, forçant Eragon à dévier la lame de justesse, qui riposta en feintant, bien que trop lentement pour passer outre la parade du roi. Il recula, passant près de Murtagh et d’Arya. Des sorts autant que des coups partaient dans ce combat.
Eragon chargea le roi dans les règles de l’art, avec un grand cri. Le roi para l’attaque sans problème mais la vitesse d’Eragon l’empêcha de riposter. L’élan emporta Eragon vers une baie vitrée qu’il allait rencontrer :
« - Jierda ! cria-t-il. »
La vitre se brisa et Eragon se retrouva sur une sorte de balcon. Des archers se postèrent un peu partout à l’étage supérieur mais leur angle était trop mauvais et ils ratèrent leur cible.
Le roi le rejoignit et les deux combattants se tournèrent autour un moment. Galbatorix et Eragon se fixaient, les archers ne pouvaient plus tirer.
Le roi passa à l’attaque, forçant Eragon à reculer. Les coups plurent et le jeune dragonnier se retrouva dans une position défensive, attendant la moindre ouverture. Celle-ci ne vint pas, mais le roi, comprenant que ce n’était pas là la meilleure manière de vaincre.
Il pris la parole :
« - Tu ne peux gagner, rends-toi, et tu aura la vie sauve !
- Je ne le peux, et je ne le veux pas.
- Le monde à besoin de toi, j’ai besoin de toi
- Vous ne m’aurez pas, vous n’asservirez pas la dernière dragonne, et vous allez mourir, même si je dois mourir aussi ! prononça Eragon avec un ton plein de défi. »
Le roi, comprenant le message, attaqua de nouveau sur un Eragon qui esquiva d’un bond. L’épée trancha tout de même son armure et la chair de son coté, lui arrachant un cri.
Eragon aurait voulu voir où en était les deux elfes, mais il savait que se retourner reviendrait à mourir, mais il ne pouvait gagner contre l’escrimeur comme Galbatorix, entraîné comme il l’était. Il décida de passer à la ruse, mais le roi le devança, envoyant sa magie qu’il réussit à contrer.
Eragon attaqua, plus pour distraire le roi que pour le blesser, mais il eu la chance de le toucher au coté. Galbatorix recula, se retrouva au bord du balcon.
« - Stenr reisa ! fit Eragon, content de voir une partie du balcon se fissurer puis se soulever. »
Eragon sentit son énergie se vider, déplacer le balcon pouvait être au dessus de ses forces, il lâcha le balcon d’un coup, mais non seulement la partie avec Galbatorix tomba, mais tout le reste, faisant tomber le maître de Saphira.
Celle-ci revenait, elle avait coincé Shruikan dans un endroit d’où il lui faudrait un moment pour sortir. Elle vit Eragon commencer à tomber, elle redoubla sa vitesse, mais elle était trop loin. Elle appela Eragon de toutes ses forces pour qu’il utilise sa magie, mais le petit homme s’était évanoui à cause de l’effort et de la peur.
La silhouette s’immobilisa, puis commença à remonter, petit à petit, puis de plus en plus vite. Saphira volait de toutes ses forces pour se placer sous son dragonnier, au cas ou… Arya était en haut, c’était elle qui remontait Eragon, petit à petit. Derrière arrivait une panoplie de gardes, une dizaine au bas mot.
Arya ne pourrait combattre seul et Saphira ne pouvait entrer. En plus, il fallait s’occuper d’Eragon. Saphira grogna, les gardes hésitèrent assez longtemps pour que l’elfe remonte le dragonnier.
Alors qu’Arya se retournait, Murtagh se releva, et bien que blessé, ramassa Zar’roc et se mit en garde. Un sentiment de peur envahit la dragonne, elle ne pouvait cracher le feu sans blesser l’elfe.
Murtagh se mit en garde et tua le premier des garde, surprenant tout le monde, puis Saphira compris : il avait juré allégeance au roi, celui-ci mort, il était libre, elle le dit à Arya qui le relaya au garde :
« - Votre roi est mort, vous êtes libre, si vous choisissez de vous rendre, vous aurez la vie sauve, sinon, vous allez mourir pour rien. »
Les gardes et l’armée en contrebas, qui venait de trouver le corps du vieux dragonnier, se rendirent. Au loin, on entendit le cri de Shruikan, qui mourut avec son maître. Les Vardens, les nains et les elfes avaient gagné, mais le sort d’Eragon était encore incertain
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